IVO ROMANO – Dans la course au football durable, un point de référence unique: l’Allemagne. Les comptes en ordre, d’excellents résultats, la poussée des jeunes. Et dire que les Allemands sont habitués depuis des années à faire le mariage avec les figues sèches. Ou peut-être que ce sera bon pour ce que vous avez réussi à trouver le juste équilibre. Le championnat, tout d’abord. Quelques étoiles, en Bundesliga, sinon ceux du Bayern Monaco. Bilans plus sains que sur le terrain de classe mondiale.

Le football allemande dominateur en Europe.

Mais non seulement les échantillons ne tirent le thermomètre de l’appel. Non excellente qualité, suivie par la direction. Il ya quelques saisons, les dépassements. Ensuite, l’extension obligatoire. La Premier League est terminée, bien espacées. Maintenant, la Bundesliga est incomparable: il est la ligue la plus regardée, avec une audience moyenne bien au-dessus des 40.000 unités par match. Avec nous, c’est un miracle pour chaque augmentation insignifiante (nous sont espacées d’environ 15.000 présences par match, énormes), l’Allemagne devrait faire la fête avec une vengeance.
Comptez étapes, entre autres choses. Embarrassant la comparaison avec les Italiens. Les systèmes de dernière génération (de véritables joyaux ceux construits pour la Coupe du monde, plus que l’argent gaspillé pour l’Italie ’90) n’ont sièges qui n’aiment pas ceux de la courbe? Pas de problème. Dans les compétitions européennes, où il ya une obligation, seuls les sièges. En championnat, les fans de la courbe de l’espace, ceux qui préfèrent se tenir debout. Et qui plus est à bas prix, le plus bas du football le plus avancé d’Europe: le prix moyen de € 20, 10 de la courbe, un peu plus de 100 abonnement en moins cher.
Les ventilateurs, au premier chef. Ils sont les maîtres, ils sont une attention spécifique. Pourquoi le football allemand, à certains égards, est unique au monde: les associations sportives sont des sociétés contrôlées au moins 51 pour cent par les fans. Ainsi, alors qu’il n’est pas possible de se passer ce qui s’est passé en Angleterre, avec de nombreux clubs à l’échelle par les hommes d’affaires étrangers, sur les autres clubs qui ne peuvent pas répondre aux besoins de la population, le véritable propriétaire de football. Le reste vient tout seul: il est interdit de gaspiller de l’argent, qui viennent plutôt en espèces en grandes quantités en raison du résultat impressionnant qui a le football.

Les sponsors sont candidates pour imprimer les logo sur les maillots des équipes allemandes, qui tirent plus de 100 M €, le chiffre le plus élevé en Europe. La flambée des revenus a diminué sorties, et tous les clubs ferment leurs comptes de résultat net. Et si la ligue est derrière la Premier League dans des actes de revenus, les excelle de football allemands en termes de bénéfice pour l’année, de loin le meilleur en Europe. Parce que vous dépensez moins pour d’autres postes budgétaires. De tous les salaires des joueurs et ailleurs représentent 62-64 pour cent du chiffre d’affaires, en Allemagne, seulement 45 pour cent en premier.

Sans oublier le marché des transferts: pas pressé de champion en trop (sauf pour Javi Martinez du Bayern Monaco, tandis que le Borussia Dortmund est dans les dernières années du club risquer l’échec dans le football européen par le pouvoir d’achat de sauver des gens comme Lewandovski et Goetze, que maintenant coûter un bras et une jambe), plutôt il saute sur les joueurs de niveau intermédiaire au prix d’équilibre. Et cela n’a pas empêché le Bayern Monaco pour disputer 2 Champions League en trois ans, en attendant le troisième probable, ce qui pourrait être un derby avec Dortmund allemand.

Et puis il ya les jeunes, une mine d’or. Il a pêché avec les deux mains le national (ethnique, ainsi que le vert). Moyenne d’âge de seulement 25 ans (à la Coupe du Monde d’Afrique du Sud étaient plus jeunes que le Ghana et la Corée du Nord), le transfert continu de l’équipe de jeunes (moins de 21 et moins de 17 ans champions d’Europe en poste) à l’équipe nationale. Normal si les 10 dernières années, l’âge moyen des joueurs de la Bundesliga native est tombé de 28,8 à 25,3 ans, et si les 27,5 pour cent des joueurs de la ligue se compose de nationalité allemande moins de 23 ans. Un grand petit miracle. Et un exemple à suivre.
Ivo Romano